mercredi 30 juillet 2008

C'est les vacances.

Et je n'écris plus. Pourtant, je pourrais prendre le temps.

Présentement, j'ai du temps. Je fais ce que je veux. Ce qui ne signifie pas que je ne fais rien, au contraire. Mais, néanmoins, je n'ai aucune obligation. Ce que je vis présentement est nouveau pour moi. Le dernier été où je n'ai eu ni boulot, ni école, ni travaux à terminer...en fait, je ne m'en souviens pas.

Mon temps est très bien comblé. Hier matin je me suis fait croire que j'étais au tour de France et j'ai pédalé comme jamais sur mon vélo, question de battre mon record de vitesse moyenne sur un trajet que je fais souvent. Puis, tantôt allongée dans la piscine, tantôt bien adossée à la montagne d'oreillers qui recouvrent mon lit, j'ai dévoré un roman en une couple d'heures. C'était de ça que j'avais envie. C'est tout.

Aujourd'hui j'ai aidé mes parents avec le terrassement autour de la nouvelle piscine. J'ai fait travailler mes muscles, j'ai sué. Mais je le faisais parce que, vraiment, j'avais envie d'aider.

Présentement je n'ai pas envie d'aller dormir. Alors, je n'y vais pas.

Le seul inconvénient, avec les vacances, c'est qu'elles me donnent le temps de penser. Quand je suis prise dans ma routine, je pense à mille affaires qui semblent vraiment importantes. Mais c'est maintenant que je ralentis que la réalité me pète en plein visage. Je pense trop? Je cherche trop?